De mon côté, je n’ai fait qu’un passage éclair d’une journée sur le salon pro de Vichy cette année ! Wouaaah quel privilège de pouvoir profiter des présentations détaillées, d’échanger avec les auteurs, éditeurs, illustrateurs… Bref tous ceux qui gravitent autour du jeu et s’arrachent le c…oeur pour nous pondre des trucs pas possibles de la mort qui tue ! Moi qui n’ai découvert que bien tardivement l’existence de ce monde parallèle, je ne me lasse pas de goûter un peu à toutes les confitures (même la plus basique que les adeptes connaissent sous 1000 déclinaisons et dont ils sont parfois lassés).
Je disais donc : n’ayant pas pu profiter des 3 jours sur place, je suis évidemment loin d’avoir tout testé (y compris dans les jeux qui m’intriguaient fort fort, hélas). J’ai surtout profité de cette unique journée pour découvrir des petites boites, euh… oui enfin si je fais exception de NUCLEUM chez Intrafin qui m’a pété le cerveau en 8 pendant 2h avant que le groupe, pris de pitié en constatant que j’avais les neurones qui me coulaient des oreilles, ne m’autorise à quitter la table sous un tonnerre d’applaudissements (oui c’est ça ! dans mes rêves). Un joueur très sympa a surtout accepté de prendre ma place me sentant prête à bouffer tous les éléments du jeu jusqu’à c’que mort s’en suive.
Bon ok j’avoue : le jeu est très très bon, riche, thématique et offre aux experts (mais seulement à eux) tout le loisir de choisir parmi 1 million de possibilités par tour, LE truc à faire pour optimiser son action, faire les bonnes connexions, récupérer des éléments cruciaux etc… Mais je crois que je suis encore trop petite pour oser prétendre dompter ce genre de mastodonte.
Je me suis concentrée sur les petites boîtes disais-je ! Déjà parce qu’en général elles attirent direct mon oeil de fouine et viennent piquer ma curiosité à vif. Mais aussi parce que j’aime l’idée que dans un tout petit format, se cache souvent de vraies pépites avec plein de matos et/ou de modules pour renouveler l’expérience. Mon petit coeur tout mou (#oliviaruiz) est particulièrement sensible aux jolis visuels (oui je sais c’est subjectif mais j’men fous), et surtout, surtout, j’ai un faible pour les trucs de placement casse-bonbons casse-tête avec des objectifs à remplir et tout.
3 minis boîtes trop choupinettes et bien casse…tronche !
Flowers
Regardez-moi ces jolies cartes parsemées de différentes couleurs de fleurs toutes plus ravissantes les unes que les autres. C’est mignon hein ?! On croirait entendre les oiseaux chanter… Eh bien méfiez-vous, ne vous laissez pas envouter par son apparence pacifiste, ce jeu n’existe que pour vous faire souffrir ! Dans Flowers, l’idée est de scorer un max de points par type de cartes.
Dans la règle de base, il y a les fleurs (rouges, vertes, bleues et jaunes) qui offrent chacune 1 point à condition de faire partie d’un bouquet d’au moins 5 cartes adjacentes de même couleur ; et il y a les papillons qui offrent des points supplémentaires s’ils touchent des fleurs de la même teinte que leurs ailes. A son tour, on pioche, on pose. Facile ! Oui mais (bouge pas ça vient !) : sur ces jolies petites fleufleurs, il y a un gros vilain numéro et c’est ce numéro qui vient tout gâcher dans notre petit esprit hippy qui voulait juste trier ses pâquerettes en fumant un gros p !
En vérité, toute la contrainte se pose là: arriver à créer des zones dont la taille correspond au chiffre (peu importe la couleur ici) : une zone de 2 cartes comportant le numéro 2, une zone de 4 cartes comportant le numéro 4 etc… Tout en essayant de regrouper nos fleurs par type puisque, rappelez-vous, on ne gagnera des points que pour les groupes d’au moins 5 cartes! Tu le sens ton cerveau qui bouillonne là ?
Lors de sa présentation, j’ai même eu la chance de tester des petits modules pour intensifier encore un peu la difficulté et varier les plaisir (j’ai surtout couiné comme une souris en sentant ma cervelle faire trois tours ). Mais rien n’est encore sûr pour ce qui est de la version définitive alors je préfère fermer mon clapet et passer tout de suite à la conclusion :
Voilà pour ce petit bijou que vous pouvez savourer aussi bien en solitaire (oui j’y arriverai ! ), en amoureux (mais tu vois bien que si tu fous ce putain de myosotis ici, tu niques complètement notre joli parterre de chrysanthèmes idiot bête ! ) ou en mode compét’ (si elle croit que je vais lui laisser ce foutu papillon…).
Flowers
- De P.H Argiot, illustré parJ.Gruet
- Edité chez Actarus (une toute nouvelle boîte créée par Gerald Cattiaux auteur de Stella et Masterworld svp ! )
- De 1 à 4 dès 8 ans
Faraway
Mais ouiiiii je sais bien que je suis à la bourre et que tout l’internet a déjà joué et présenté ce petit chef d’oeuvre. Mais bon qu’est-ce qu’on a dit plus haut ? Qui c’est qui écrit l’article ? Et donc qui c’est qui décide de tout ? Alors tu me laisse causer de ce que je veux. Et Faraway j’ai trop trop kiffé alors je veux en parler. J’ai testé ça dans une ambiance de folie avec des gens trop méga super cool qui se foutaient limite de ma gueule au début de la partie: « tu sais que ça ça te rapporte rien, et ça non plus si tu te secoues pas un peu ?! » et au final, j’ai tout déchiré (oui bon pas tant que ça mais j’étais pas dernière quoi ! ).
J’explique, dans Faraway vous jouez une carte devant vous. Son numéro indique l’ordre dans lequel les joueurs vont récupérer 1 nouvelle carte parmi d’autres présentées au centre de la table (le plus petit numéro commence etc…).. On va, comme ça, joué 8 cartes que l’on aligne les unes à la suite des autres comme si elles nous racontaient une histoire qui défile sous nos yeux ébahis (oh oui parce qu’en plus c’est trop trop beau, je fonds complètement devant les illu ! ).
Bon et puis alors quoi ? Eh bien, sur ces cartes, il n’y a pas que des numéros d’ordre de tour. Non ? Il y a foultitude de machins qu’on voudrait bien tout faire mais c’est pas possib’ :
Les parchemins : Si vous jouez une carte dont le numéro est supérieur à celle qui la précède, vous avez la possibilité de récupérer un/des sanctuaires qui offrent de nouveaux symboles (bah voyons y en avait pas assez) et des quêtes (objectifs).
Des conditions : Ces p’tits zigouigouis représentés dans des minis encadrés colorés tout choupis sont en réalité des put#&% de trucs super chiants à tenter de respecter pour pouvoir marquer les points de la carte en fin de partie. Jusqu’ici ça va… Classique quoi : je pose, j’essaie de combiner, d’optimiser pour remplir des contraintes. Bon alors je poursuis puisque tu fais ton malin :
Des bidules : Tous les autres symboles qui apparaissent un peu partout sont là pour, éventuellement, remplir les objectifs demandés par nos précédentes cartes ou anticiper celles qui seront posées ensuite LÀ ! On y vient. C’est à ce moment précis que tu vas vouloir te taper la tête dans le coin de la table juste pour vérifier que t’as encore un bout d’cervelle qui se ballade à l’intérieur.
A la toute fin de partie, voilà c’qui se passe :
Chacun retourne sa file de 8 cartes face cachée.
Vous les révélerez alors une par une pour voir si les conditions sont remplies afin de marquer les points. Oui mais ! Ce décompte s’effectuera à partir de la carte la plus à droite… donc la dernière… donc j’espère pour vous que vous avez bien préparé votre coup et n’espériez pas scorer pleins de symboles représentées sur les 1ères cartes puisque celles-ci dorment encore le nez contre la table !
OoOoh my god !
Croyez-moi si je vous dis de ne pas jouer les cakes avant d’avoir essayé. Parce que vous allez chialer votre mère tellement ce petit casse-tête vous retourne le ciboulot et vous fait saigner des yeux, du nez et des oreilles ! C’est une véritable drogue dure : sa puissance vous rend à la fois hagard et euphorique, vous avez la sensation d’avoir été vidé de toute matière grise, vos yeux cherchent à raccrocher avec quelque chose pour vous ramener à la réalité mais déjà… vous n’avez qu’une seule idée en tête : y revenir encore et encore !
Faraway
- De J.Goupy et C.Lebrat, illustré par M.Morin
- Edité chez Catch Up Games
- De 2 à 6 dès 10 ans
Motu
Cette fois-ci c’est sûr, quand vous aurez fini de lire cette présentation, vous allez vous dire que je suis maso et que mon but dans la vie est de souffrir à l’extrême. Oui bon, peut-être mais regardez comme c’est beau ! Comment voulez-vous que je résiste à ces couleurs pastels envoûtantes, ce thème paradisiaque, cet aspect zen qui s’en dégage pour mieux tromper l’ennemi et vous attraper dans ses filets.
Motu est tout à fait le genre de petite perle que j’aime dénicher. Ca me donne immédiatement la sensation d’avoir mis la main sur quelque chose d’unique et de précieux. Vous aurez ici de jolies cartes carrées à agencer devant vous en respectant une contrainte : recouvrir au moins un élément à chaque fois (ah oui et ne pas foutre les arbres dans la flotte quoi ! La mer avec la mer et les arbres dans la forêt… logique ! ). Mais c’est tout. Le paysage qui va se dessiner sous vos yeux pourra donc être tout biscornu (comme si vous étiez en train de découvrir réellement une île et d’en suivre les chemins escarpés).
Alors, quoi qu’on trouve cette fois-ci sur ces cartes ?
Plein de petits éléments de scoring (bah tiens !). En même temps il faut bien marquer des points alors arrête de râler ! Ce qui est chouette, c’est que le jeu vous oblige à trouver un certain équilibre pour respecter la nature (#pollution, #surconsommation tout ça tout ça…). Le petit twist original réside dans le fait qu’il y aura 2 comptages intermédiaires et 1 final !
Pas si original que ça hein ?
Eh bien si parce que rien n’est imposé, chaque joueur décidera de ce qu’il désire scorer à chaque étape (par contre une fois que c’est fait, c’est fait ! On y reviendra pas mon gars ! )
- Les chasseurs : 2 points chacun à condition d’être moins nombreux que les poulets
- Les pêcheurs : 3 points chacun à condition d’être moins nombreux que les poissons
- Les bateaux : 4 points chacun à confions d’être moins nombreux que les arbres
- Les volcans : à l’aide d’une réglette, vérifiez la distance entre chacun d’eux et votre village de départ. Plus ils sont loin plus ça rapporte mais attention : trop loin, t’as rien !
- Les totems : Plus il y en a de différents, plus ça paye !
Et puis on n’a pas parlé des noix de coco encore ! C’est la monnaie du jeu. Oui parce que quand tu veux récupérer 1 carte à placer, tu payes (en égrainant tes sousous sur les cartes précédentes) et puis quand tu veux tenter un objectif (Destins) qui offre une nouvelle possibilité de gagner des points, tu payes aussi ! Vous l’aurez compris : pour récupérer ces p’tits fruits délicieux, il faudra chopper les cartes sur lesquelles ils ont été dispersés.
Je ne rentre pas dans les détails des règles ici mais sachez qu’il faudra avoir l’oeil sur tout: qu’est ce que je recouvre? Qu’est-ce qui l’intéresse lui là ? Qu’est-ce que je valorise maintenant ou que je sacrifie? De quels éléments de base me fait bénéficier mon personnage? (Ah oui ! J’vous ai pas dit : il y a un peu d’asymétrie miam ! ), un délice ce petit Motu !
Motu
- De S.Almes, illustré par O.Danchin
- Edité chez Ghost Dog Games
- De 1 à 6 dès 9 ans
Kronologic
La (les) boîte(s) qui m’ont hypé de ouf sur ce salon !
Vous l’aurez compris, j’adore le placement, l’agencement, les objectifs, les micro-dilemmes et tout et tout ! Mais genre vraiment ! Rares sont les jeux du genre qui ne me donnent pas envie. Mais je n’aime pas que ça évidemment. A la base, j’aime les jeux de déduction, les enquêtes etc… Gamine, j’ai joué à peu de trucs mais s’il y a un jeu que j’adorais, c’était le CLUEDO. Et même aujourd’hui, hormis les déplacements qui peuvent être barbants, je pense que j’aurais toujours plaisir à en faire une partie (j’ai dit une ! ).
N’ayez pas peur, on ne va pas dévier sur mes souvenirs d’enfance mais la transition est parfaite pour vous parler d’un jeu qui devrait arriver prochainement. Non ! Pas UN jeu en fait : une série d’enquêtes avec chacune un thème/une époque différente. La toute première sera à l’opéra de Paris. Ici pas de lancer de dé hasardeux, pas de déplacement chiant, pas d’acharnement sur un joueur. On épure pour garder l’essentiel, ce qu’on préfère dans ce type de proposition.
Pour chaque enquête contenue dans une boîte, vous découvrirez un scénar’, étudierez un plan, ferez connaissance avec les suspects. L’idée sera de savoir Qui a tué ? Où ? Et à quelle heure ? Ces trois critères seront représentés par des tuiles perforées.
Des quoooiii ?!
Tout au long de la partie, vous superposerez 2 de ces tuiles comme si vous posiez une question (Madame L s’est-elle rendue dans le vestiaire ? Y avait-il quelqu’un sur scène à 14h ? ). Les petites perforations vous indiqueront alors 2 réponses : l’une sera plutôt vague et libre d’interprétation, vous la partagerez avec tous ; l’autre sera plus précise et ne sera destiné qu’à vous seul ! Comme dans tous jeux de déduction, vous noterez vos découvertes et hypothèses sur une fiche reprenant les différents éléments de l’histoire et affinerez petit à petit vos recherches jusqu’à vouloir annoncer votre conclusion (avant les autres c’est mieux ! ). Mais qui est donc l’auteur de ce crime cette création ? Une petite idée ?
En réalité ils sont 2… Et pas n’importe qui
En tant que fan incontestée du célèbre jeu de déduction logique de ce même duo d’auteurs : TURING MACHINE ! Je ne pouvais pas manquer cette découverte. Le visuel me parle direct, les 3 boîtes à venir ont un look d’enfer (calme toi la première n’est même pas encore sortie ! ). Le système est ultra efficace et agréable à manipuler. Pour la prise de note, ce sera à chacun de se familiariser avec sa propre méthode. Bon je ne vous cache pas que jouer à côté de Yoann Levet nous a quelque peu déstabilisées (en gros on a joué comme des patates ! ) mais ça n’a en rien changé mon opinion sur cette petite merveille. J’ai déjà hâte de retenter ma chance parmi un groupe de détectives en herbe !
Kronologic
- De Y.Levet et F.Gridel (Mais naaan ?! Eh ben si ! ), illustré par A.Apolar et Y.Valeani
- Edité chez Origames et Super meeple
Allez on passe à la curiosité du festoch’ :
Spirit
Bien accueillie au stand de cet éditeur (comme toujours) nous prenons le temps de papoter un peu quand soudain mon oeil est attiré par un objet étrange… Un objet ou une boite de jeu ? Les 2 mon capitaine ! Figurez-vous que j’avais face à moi une véritable table de Ouija en guise de couvercle pour sa toute dernière nouveauté.
Une quoi ? Une table de Ouija ! Mais siii, vous en avez tous déjà vu au moins une fois : dans une brocante, un grenier, un film d’horreur à la con ! Vous savez ce support sur lequel sont inscrites les lettres de l’alphabet? Même que chaque participant va poser son doigt sur un pointeur qui sera (ou pas) poussé par l’esprit de Casper, Lucifer ou Johnny Hallyday lui-même. Au fil du temps, les lettres désignées mises bout à bout forme un mot, une réponse, une phrase, les numéros du loto (ah non ! Ca non par contre zut…).
Ca y est tu vois le bazar ? On peut continuer ? Dans Spirit, vous allez devoir apprendre à vous écouter et communiquer sans la parole, juste à l’aide de cette table de divination. Un joueur incarnera le fantôme pour une manche. Il piochera secrètement la situation qui l’empêche d’être apaisé dans l’au-delà. Les autres, les médiums, allez devoir, tout à tour, choisir 1 question que vous ne montrerez qu’à l’esprit tourmenté. Après chaque interrogation, tous les joueurs posent leur doigt sur le pointeur et laisse le fantôme écrire sa réponse.
Et donc ? C‘est quoi le truc ?
Le truc c’est que chacun aura aussi pioché une contrainte (la 3ème lettre devra être un U, le pointeur ne doit absolument pas passer par le E, finissez par une voyelle etc…). Le truc c’est que seul 2 joueurs connaissent la question (1 médium et le fantôme). Le truc c’est que le fantôme a aussi une contrainte à la noix à respecter. Le truc c’est qu’il va falloir arriver à décrypter le message en faisant abstraction des lettres parasites qui apparaissent (comme si un mauvais esprit avait fait irruption durant la séance de spiritisme)
Je vous conseille d’écrire les lettres au fur et à mesure (avec l’autre main hein, celle qui est libre puisque l’autre pousse ! ). Vous pourrez comme ça tenter de repérer plus « facilement » (ou pas ! ) les intrus et n’aurez pas besoin de tout mémoriser. Parce qu’après 3 questions, les médiums devront essayer de retrouver LA situation qui malmène le fantôme parmi plusieurs autres (je regrette de ne pas avoir écouté le Maire, j’aurais voulu être champion aux 100 mètres, je me demande si on va m’oublier etc…).
Le thème peut paraître glauque, mais il faut reconnaître qu’il vient chatouiller quelque chose d’enfoui au plus profond de nous-même : la peur de l’inconnu, d’être incompris ou seul etc… On a tous voulu un jour regarder ou s’essayer à des expériences paranormales, ça prouve bien que nous y sommes sensibles. Et là nous avons la possibilité de démystifier tout ça, d’en parler sans tabou et même d’en rire ; ce serait dommage de s’en priver !
Un bel exercice qui permet à la fois de déconner plein tube tout en travaillant la cohésion d’équipe, la communication, la prise en compte de l’Autre, l’écoute, la déduction… C’est ultra original mais ce n’est pas étonnant venant d’Olibrius qui n’en est pas à son coup d’essai puisqu’il avait déjà édité Nouvelles Contrées, un Objet Ludique Non Identifié que je vous ai présenté récemment.
Esprit es-tu là?
Si je devais y jouer demain (genre pour Halloween ! ) je pense que je ferais le truc à fond : lumières tamisées, bougies, draps blancs, musique flippante (et même pourquoi pas des bruitages de pas, de cris etc…). Le matériel est trop d’enfer et les illustrations vous plongent dans l’ambiance alors ce serait con de ne pas mettre le paquet pour en profiter un max.
A l’heure où tous les films reprennent à l’infini les recettes qui ont cartonnées pour les remâchouiller et nous les recracher en pleine face ; laissons aux jeux hors du commun une chance de se frayer un chemin vers la gloire et le succès. Une expérience unique et palpitante dont vous ne sortirez pas indemne…
Spirit
- De J.Prothière et B.Laurent, illustré par S.Caruso
- Edité chez Olibrius
- De 3 à 6 dès 16 ans (hooouuuu !!! )
Un grand merci à tous les éditeurs d’avoir pris le temps de me recevoir sur leur stand (je sais je ne suis pas facile à supporter et ça vous a demandé un effort particulier ), merci au groupe qui nous a accueilli dans son squat de keupons le samedi soir et enfin à ceux qui m’ont fait parvenir des visuels pour ma présentation parce que mes photos étaient trop pourraves et ne rendaient pas honneur à ces merveilles !