Les jeux Lucky Duck Games : mes tops, mes flops, et mes attentes

Lucky Duck Games nous offre régulièrement des pépites tout au long de l'année, avec des jeux qui se distinguent toujours par leur qualité de matériel, de rangement et leurs illustrations. Quels sont ceux que j'ai adorés, et lesquels ne trouveront jamais leur place dans ma ludothèque ? Je vous réponds maintenant.

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Voici le deuxième opus dédié à un éditeur en particulier, et il s’agit de l’un des plus réputés du marché français. Cet éditeur nous régale avec des pépites telles que Dice Throne et Too Many Bones. Cependant, ils ne figurent pas dans ma liste ! Je laisse place à d’autres jeux que j’adore vraiment beaucoup. D’ailleurs, je suis toujours impatiente à l’annonce de leur nouvelles sorties !

Ceux qui seront toujours dans ma ludo :

Flamecraft

Dans Flamecraft, de charmants dragons magiques, artisans de grand talent, sont très recherchés par les commerçants pour attirer la clientèle. En tant que gardien des flammes, vous excellez dans l’art de discuter et de collaborer avec ces dragons extraordinaires.

Votre mission est de placer les dragons dans les boutiques qui leur conviennent le mieux, afin de les rendre heureux et d’utiliser leurs enchantements pour créer des merveilles. Plus vous aiderez les dragons et les commerçants à travailler ensemble, plus votre réputation grandira. Le joueur ayant accumulé le plus de points de réputation remportera la partie.

Dans Flamecraft, vous incarnez un gardien des flammes, avec pour mission de faire travailler en harmonie les dragons et les commerçants. Ces dragons, spécialisés dans différents domaines (pain, viande, fer, cristal, plantes, potions), permettent d’améliorer les boutiques de la ville.

Votre objectif est d’accumuler un maximum de points de réputation en plaçant stratégiquement ces dragons, en collectant des ressources et en enchantant les boutiques.

À chaque tour, vous devez choisir entre :

Visiter une boutique pour collecter des ressources, placer un dragon de votre main dans la boutique et obtenir une faveur d’un dragon déjà présent (pouvoir spécial) ou enchanter une boutique en utilisant les ressources requises, ce qui vous fera gagner des points de réputation.

La compétition est féroce, car vous devrez vous disputer les meilleurs emplacements pour vos dragons et les enchantements les plus lucratifs, tout en essayant d’attirer des dragons prestigieux pour obtenir des points de réputation supplémentaires.

Ce que je pense de Flamecraft :

Flamecraft est un véritable coup de cœur pour moi. D’abord, je suis fan des illustrations : le jeu est tellement joli et mignon, j’adore cet univers. Le matériel est incroyable, mais ce n’est pas seulement pour ça que je le garde. Le jeu fonctionne à merveille, il nous propose des actions très intéressantes.

Si vous cherchez un jeu accessible, Flamecraft pourrait être parfait pour vous. Il est familial et tourne vraiment bien. Même s’il ne révolutionne pas le genre de la pose d’ouvriers, il l’exécute à la perfection. Je l’apprécie énormément (et ce n’est pas juste parce que j’ai raté ma carrière de dresseuse de Pokémon !). Sa simplicité et la facilité à expliquer ses règles font qu’il ne quittera jamais ma ludothèque.

Les points forts de Flamecraft :

  • La mignonnerie du jeu, on ne se le cache pas, ça fait beaucoup
  • Le thème des petits dragons artisans qui se font désirer
  • Les actions sont vraiment sympathiques ainsi que les effets
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Fantastiques Fabriques

Dans Fantastiques Fabriques vous allez vous affronter pour dominer l’industrie en construisant les usines les plus efficaces. Le but est de produire un maximum de marchandises et de construire un maximum d’usine qui nous rapporte des bonus et des marchandises en un minimum de tours. Une fois qu’on à passé le thème un peu moyen, on se laisse emporter par ses illustrations enfantine à la « prison architect » et je kiff, c’est coloré, c’est beau et jovial, rien à voir avec le thème de base ! J’aime vraiment vraiment beaucoup l’univers !

Je vous laisse avec la génialissime Mélanoch pour vous l’expliquer en détail

Et en quelques mots :

Tout d’abord c’est quoi ? Et bien c’est un jeu de gestion de ressources, mais aussi un engine building avec pleins de petits combos et de la pose d’ouvrier matérialisé par vos dés !

Phase de marché où vous pouvez soit acquérir chacun votre tour soit un nouveau plan de construction gratuitement, ou engager un prestataire (en défaussant des cartes avec un symbole spécifique).

Ces prestataires vous apportent divers avantages, tels que des ressources ou des actions supplémentaires.

Ensuite, il y a la phase de travaux où vous jouez tous simultanément. Vous lancerez vos dés et choisirez une action parmi les suivantes : activer un bâtiment, construire un bâtiment, ou récolter des ressources sur votre plateau joueur. Pour récolter des ressources, vous pourrez poser des dés pour obtenir des plans de construction (siège social), des métaux (mine) ou de l’énergie (générateur). Plus vous poserez de dés de même valeur, plus vous obtiendrez de ressources (l’action deviendra plus puissante).

La partie se termine lorsqu’un joueur produit 12 marchandises ou construit 10 bâtiments.

Le joueur ayant le plus de points, calculés en fonction des bâtiments construits et des marchandises produites, remporte la partie.

Ce que je pense de Fantastiques Fabriques :

Fantastique Fabrique est un excellent jeu de lancer de dés ! Oui, il y a du hasard, comme dans beaucoup de jeux de ce genre, mais je trouve que ce hasard est bien intégré et offre une bonne dose de stratégie et de modularité. La possibilité de changer tes dés, d’en récupérer d’autres sous certaines conditions et gérer ses cartes lui ajoute une profondeur considérable. Tout cela est parfait pour initier aux jeux de société !

Il faut vraiment réfléchir à deux fois avant de prendre une décision, que ce soit pour construire un bâtiment ou activer une carte. Chaque choix compte et une erreur peut sérieusement compromettre ton optimisation du jeu.

J’espère vraiment trouver un jour les extensions pour enrichir encore plus l’expérience de jeu ! <3

Les points forts de Fantastiques Fabriques :

  • La logique du jeu et de ses placements
  • Son esthétique et les jolies couleurs
  • L’optimisation super intéressante
fantastiques fabriques
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Bestioles en Guerre

Dans Bestioles en guerre, vous jouez le rôle d’un commandant des forces armées avec pour objectif de contrôler un maximum de territoires. Les joueurs utilisent leurs cartes pour renforcer leur position sur le plateau, en jouant des cartes de valeur et en exploitant leurs capacités spéciales. Le gagnant est celui qui contrôle au moins deux territoires à la fin ou si l’adversaire capitule avant la fin du jeu. Plus le joueur à de cartes en main quand il capitule, plus l’adversaire remporte de points.

Pour jouer vous aurez des cartes qui ont plus ou moins de valeur + des actions imposés et également une face arrière qui vaut 2 points. Vous choisissez comment jouer votre carte mais, vous devez la jouer dans le territoire de la même couleur que celle ci, sauf indication contraire. Le verso des cartes de valeur 2 peuvent être joués n’importe où également.

Ce que je pense de Bestioles en Guerre :

Bestioles en guerre est un jeu de cartes très tactique et malin, où l’objectif est de taquiner son adversaire pour le pousser à capituler rapidement et ainsi maximiser ses points. Chaque joueur utilise le même deck de cartes, ce qui ajoute une dimension stratégique intéressante : il faut observer les cartes déjà jouées pour planifier ses propres coups. Parmi les cartes, certaines permettent de deviner et de défausser les cartes adverses, ce qui renforce l’aspect calculatoire du jeu.

Le jeu est très stratégique, visant à contrôler la majorité de deux territoires pour gagner. Les batailles sont intenses, et les parties sont souvent si engageantes qu’on a envie de rejouer. Les règles sont simples, ce qui rend le jeu accessible, mais la stratégie nécessaire est plus complexe qu’il n’y paraît. Les actions des cartes et les combos sont particulièrement satisfaisants, surtout lorsqu’un plan élaboré est complètement contrecarré par l’adversaire. QUELLE GROSSE MARADE

Les points forts de Bestioles en Guerre :

  • Sa puissance de jeu en si peu de cartes
  • Sa rapidité de jeu et d’apprentissage
  • Ses graphisme très beaux et sophistiqués
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Ceux qu’il faut que je teste :

Redac’ Chef

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Dans Rédac’Chef, vous incarnez le rédacteur en chef d’un quotidien local à Bourg-Chardon, un village tellement animé qu’il est difficile de suivre toute l’actualité. Votre mission est de créer la Une parfaite en collectant des articles, photos et publicités pour refléter au mieux les événements du village.

Le jeu se joue en plusieurs manches chronométrées. Pendant chaque round, les joueurs récupèrent simultanément des tuiles d’articles placées face cachée au centre de la table. Ils les entassent sur leurs bureaux jusqu’à avoir tout ce dont ils ont besoin pour composer leur Une idéale. Une fois prêts, ils annoncent « Maquette ! » et commencent à organiser les tuiles sur leur plateau en respectant les contraintes de mise en page et les objectifs de popularité.

Quand un joueur a terminé sa mise en page, il annonce « Tirage ! » pour signaler la fin du round. Le joueur dont le journal est imprimé en premier choisira sa Tribune pour le tour suivant. Le jeu se poursuit jusqu’à la fin de tous les rounds, et le joueur avec le plus de points de popularité cumulés est couronné grand vainqueur et meilleur Rédac’Chef de Bourg-Chardon.

Saurez-vous gérer la pression des délais et publier la Une la plus captivante ?

Mon avis sur Rédac Chef :

J’ai vu Rédac’Chef partout ces derniers temps, et je dois avouer que sa direction artistique est absolument époustouflante (comme souvent avec les jeux de Lucky Duck, d’ailleurs). C’est un jeu familial, avec un timing énergique, qui risque bien de mettre ma fille dans tous ses états ! Rien que pour cette dose de stress et de fun, j’ai une envie folle de me plonger à fond dans cette expérience ludique.

Le système de gestion des tuiles, représentant des articles, des photos et des publicités, est superbement thématique, et les phases chronométrées promettent d’être particulièrement amusantes. En plus, il faut jongler avec un budget limité et le temps imparti pour créer la Une la plus attrayante possible.

Ajoutez à cela des événements imprévus, et vous obtenez une véritable pépite familiale. J’ai vraiment hâte de le voir sur ma table !

redac chef
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Wild Tiled West

Dans Wild Tiled West, une frontière peuplée de créatures industrielles et de vermines déloyales vous attend. Draftez des tuiles pour fonder des villes sur la prairie et développer votre colonie. Protégez vos citoyens des bandits, exploitez vos mines pour faire fortune, ou tentez votre chance aux jeux !

L’Ouest est plus sauvage que jamais, et il vous faudra une stratégie astucieuse ainsi qu’un peu de chance pour triompher. En selle et prêts pour l’aventure dans Wild Tiled West !

Mon avis sur Wild Tiled West :

Je n’ai pas lu énormément de choses sur celui ci, mais rien que les mécaniques et le matos me donne grave envie, moi les polyomonos J’ADORE ça ! Wild Tiled West me semble être un véritable plaisir pour les amateurs de jeux de stratégie et d’aventure ! Il nous plonge directement dans un univers de far west où nous devrons jongler entre la construction de villes, la protection contre les bandits et l’exploitation des mines. Le système de draft de tuiles ajoute une dimension stratégique que nous trouvons très intéressante, et la rejouabilité semble prometteuse (sur le papier). Avec ses mécaniques éprouvées et son ambiance dynamique, Wild Tiled West promet de devenir un incontournable dans les ludothèques. La perspective de développer notre colonie tout en nous défendant contre les dangers de l’Ouest sauvage nous donne vraiment envie de nous y plonger.

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Ça tourne

Ça tourne est une proposition ludique complètement décalée qui place les joueurs dans le rôle de producteurs de films. Vous devez produire un film en orchestrant toutes ses composantes tout en respectant un budget et un délai impartis. Allez-vous créer le chef-d’œuvre « Mystères en Eternia » avec un casting de qualité, un décor somptueux et un scénario convaincant ? Ou choisirez-vous plutôt de tourner « L’Hôpital des zombies lubriques », un nanar avec des silhouettes en carton, des dialogues générés par IA et un décor en images de synthèse ?

Tout est possible dans Ça tourne ! Le budget et le temps de tournage vous obligeront à faire des choix difficiles pour mener à bien votre film. La gestion des éléments, à l’aide d’un plateau, vous offrira des possibilités, mais le tirage de cartes « problèmes » pourrait chambouler vos aspirations cinématographiques, par exemple, si tout le casting est remplacé par des chats en raison d’une grève des acteurs.

Ça tourne est drôle, bien conçu, et l’édition est top. Ajoutez à cela les références cinématographiques sur les cartes, et vous obtenez un excellent jeu coopératif.

Mon avis sur Ca tourne :

N’étant pas une grande fan de jeux coopératifs au départ, je ne me serais pas tourné vers ce jeu (haha). Cependant, après avoir lu certains avis très enthousiastes (même si l’avis général est plutôt partagé), j’ai eu envie de le tester. Je ferai bien sûr un retour une fois que ce sera fait. Le thème très original m’attire déjà, et les mécaniques semblent plutôt intéressantes. Attention, ce n’est pas un jeu d’ambiance, malgré ce que la boîte pourrait laisser penser.

D’après ceux qui ont testé Ça tourne , ses points forts sont :

  • Un thème très immersif qui s’intègre parfaitement au jeu
  • Un humour bien dosé et une direction artistique loufoque
  • Des niveaux de difficulté variables
ça tourne lucky duck games
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Ceux que j’attend avec impatience :

Luthier :

Luthier plonge les joueurs dans l’âge d’or de la musique classique en Europe, où artisans, mécènes, virtuoses et compositeurs légendaires comme Bach, Mozart et Beethoven se côtoyaient.

À travers un mélange d’enchères cachées et de placement d’ouvriers, les joueurs gèrent des ressources pour fabriquer des instruments dans leur atelier tout en attirant de célèbres mécènes historiques. Ils choisissent de développer leurs compétences sur plusieurs pistes, débloquant des capacités et bonus variés. Chaque stratégie peut se concentrer sur les représentations musicales, la fabrication et réparation d’instruments, la formation d’apprentis, ou l’agrandissement de l’atelier, offrant ainsi plusieurs chemins vers la victoire.

Luthier allie habilement thème et mécaniques pour une expérience enrichissante, tant pour les amateurs de stratégie que de musique classique.

Mon avis :

En plus de son thème, qui m’attire énormément car très original (je n’ai pas de jeu qui parle de musique, sauf oublie de ma part !), Luthier me donne vraiment envie de m’y intéresser. C’est un jeu de placement d’ouvriers, une mécanique que j’adore, combinée à un système d’enchères qui a déjà fait ses preuves dans les jeux experts.

Le fait de devoir développer nos connaissances tout en se concentrant sur différents aspects de la musique pour atteindre la victoire titille fortement la joueuse experte, en quête de jeux originaux et passionnants, qui est en moi. Je n’ai pas trouvé beaucoup d’informations sur le jeu, mais j’ai vraiment hâte de le découvrir.

D’après ceux qui ont testé Luthier, ses points forts sont :

  • Le jeu est fluide et tout s’imbrique à merveille.
  • Le système de placement d’ouvriers avec enchères cachées est original et génial.
  • Le matériel est incroyablement beau et de grande qualité.
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Raising Robots :

Raising Robots est l’un des jeux que j’attends le plus et dont j’entends beaucoup parler. Il semblerait qu’il ressemble à Wingspan, et cela suffit à piquer ma curiosité. Et regardez ces jolis plateaux colorés ! Ça ne vous donne pas envie de l’essayer ?

Pour parler un peu du jeu, je vais résumer rapidement les règles (je ne vais pas faire une critique détaillée, je n’y ai encore jamais joué !).

Dans Raising Robots, vous incarnez des inventeurs qui doivent assembler des robots, récolter des ressources et améliorer leurs compétences pour obtenir des points de réputation . Le but du jeu est d’avoir le plus de PR à la fin de 8 rounds.

Chaque joueur commence en piochant des cartes Robot, Leçon, et Inventeur, qu’il utilise comme outils pour progresser. Les joueurs choisissent secrètement deux phases à réaliser et les effectuent simultanément. Ils peuvent améliorer leurs capacités, assembler des robots et activer des actions sur leur plateau personnel pour obtenir des ressources ou des points de réputation . La gestion des ressources et de l’énergie est cruciale, car elle peut affecter les autres joueurs. Après 8 rounds, le joueur avec le plus de PR remporte la partie.

Le jeu combine stratégie et gestion des ressources avec un système de choix simultanés, où chaque décision impacte vos projets et ceux de vos concurrents !

Mon avis sur Raising Robots :

Ce jeu finira sûrement dans ma ludothèque ! Rien qu’en lisant les règles, je sais que je vais l’ADORER. Peut-être mon futur coup de cœur ? Who knows ? Il a toutes les qualités pour : profondeur, stratégie, et des mécaniques originales qui me donnent vraiment envie de m’y plonger. Et ce thème ? Je le trouve tellement mignon ! Les robots sont adorables, on a envie de s’y attacher.

Si vous me lisez régulièrement, vous savez que les jeux de planification, c’est mon dada, mon petit péché mignon. Jouer un inventeur avec la meilleure collection de robots me tente vraiment ! Et le fait que nos actions puissent aider les adversaires me fascine, ça ajoute une dimension stratégique intrigante.

D’après ceux qui ont testé Raising Robots, ses points forts sont :

  • Un puzzle game qui fait bien chauffer le cerveau
  • Très facile à prendre en main
  • Le choix d’inventeurs, le nombre de robots différents et les différents niveaux de difficulté permettent des parties variées.
raising robots
couverture lucky duck games
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Toriki :

Au XIXe siècle, vous incarnez des adolescents talentueux venus du monde entier pour participer à une expédition scientifique dirigée par un célèbre biologiste. Destination : l’île légendaire de Toriki, réputée pour abriter des espèces uniques, animales et végétales, encore inconnues. Aucun scientifique ne l’a jamais explorée, et seuls les récits de marins racontent ses mystères.

Après plusieurs semaines en mer, votre navire est détruit par une tempête. Naufragés, vous atteignez le rivage de l’île. L’aventure commence alors, dans ce jeu coopératif où vous devez survivre, explorer, collecter des ressources, fabriquer des objets, et surtout découvrir et nommer les espèces locales. Ensemble, vous devez accomplir votre mission avant de trouver un moyen de rentrer chez vous, obtenant un score collectif à la fin de la partie.

Toriki : L’Île des Naufragés propose une campagne continue d’environ 6 à 8 heures, que vous pouvez mettre en pause et sauvegarder à tout moment. Une fois l’aventure terminée, vous aurez exploré l’intégralité de l’île et découvert la plupart de ses secrets, mais vous pouvez toujours rejouer la campagne.

Les joueurs coopèrent pour atteindre leur objectif commun : quitter l’île. Ils peuvent accomplir des quêtes annexes qui augmentent leur score final, basé sur les missions réalisées, les espèces découvertes et les pièces d’or collectées. Les aventuriers ne peuvent pas mourir, il n’y a pas d’impasses, et il n’est jamais nécessaire de recommencer la partie depuis le début.

Mon avis sur Toriki :

Toriki semble être une aventure mignonne à partager avec son enfant, qui donne envie de s’y plonger et de s’investir à 100 %. Un smartphone est nécessaire pour l’aventure, un peu comme dans Kids Chronicles. Cependant, il ne paraît pas être au centre du jeu, mais plutôt un compagnon de route, ce qui, à mon avis, n’est pas dérangeant. Au contraire, cela pourrait même faciliter l’apprentissage et rendre le jeu encore plus attrayant pour certains enfants. L’histoire semble vraiment captivante, et les mécaniques de jeu donnent envie de s’y mettre immédiatement.

D’après ceux qui ont testé Toriki, ses points forts sont :

  • Le bouquin d’explorateur pour y inscrire nos découvertes à nommer nous même
  • Le charme fou du jeu qui vous fait tomber amoureux de l’univers
  • le fait que l’histoire soit en continu, 6 à 8 heures de jeu, c’est vraiment top
toriki lucky duck games
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Ceux que je n’ai pas aimé :

Empire’s End

Dans Empire’s End, 2 à 4 joueurs dirigent une grande civilisation à son apogée, mais doivent la protéger de l’effondrement imminent. Le jeu combine enchères inversées et construction de moteurs, avec une profondeur stratégique et une gestion des crises.

Chaque partie commence avec une civilisation puissante, mais les joueurs doivent faire face à des catastrophes comme la famine ou les invasions. Lors des enchères, le joueur qui accepte un désastre subit des pertes mais obtient aussi une nouvelle capacité ou innovation, symbolisant l’adaptabilité de son empire.

Le jeu se déroule en phases variées : désastre, production, industrie et militaire. Les joueurs progressent sur une piste déterminant les phases et les défis. À la fin, le gagnant est celui dont la civilisation a accumulé le plus de points de victoire, obtenus par les territoires intacts, les innovations et les réussites militaires.

Pourquoi je n’ai pas aimé ?

Je peine à expliquer précisément pourquoi Empire’s End ne m’a pas convaincu. Bien que j’apprécie les jeux d’enchères en général, je trouve que le système d’enchères inversées dans ce jeu ne fonctionne pas très bien pour moi. Je trouve que le jeu manque de dynamisme et qu’il est assez monotone.

Le thème est intéressant, et la direction artistique est vraiment impressionnante, mais ces éléments ne suffisent pas à compenser les aspects que j’ai trouvés décevants. Le jeu semble trop punitif pour ce genre de mécanique, ce qui le rend plutôt désagréable. Peut-être que ce qui me gêne, c’est le côté opportuniste et catastrophique du jeu, où on ne connaît pas bien les intentions des autres joueurs. Cela crée une expérience qui ne correspond pas à ce que je recherche dans un jeu de stratégie.

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empire-s end lucky duck games

Earth

Earth est un jeu de construction de moteur en monde ouvert où vous allez devoir créer et développer des écosystèmes prospères. Chaque joueur démarre avec un terrain vierge et doit y introduire des éléments naturels comme des plantes, des animaux et des ressources. Le but est de bâtir un moteur autosuffisant où chaque élément contribue à la croissance et à l’expansion de votre écosystème.

Le jeu se distingue par ses règles simples mais ses nombreuses possibilités stratégiques, grâce à une variété de cartes et de combinaisons uniques. Les joueurs doivent gérer leurs ressources de manière efficace et créer des synergies entre les éléments pour maximiser leur score. Les tours de jeu consistent à faire une action en posant une carte, qui va en attirer d’autres, activer des effets et développer des habitats.

Avec sa profondeur stratégique et son aspect évolutif, Earth offre une expérience riche et variée, chaque partie permettant de découvrir de nouvelles interactions et stratégies.

Pourquoi je n’ai pas aimé Earth ?

Je suis vraiment désolé, mais je me suis ennuyé pendant le jeu. Tout d’abord, je trouve que la mécanique des actions n’est pas très intuitive. Ensuite, les cartes sont assez austères. J’ai trouvé que le jeu était bien trop long par rapport à ce qu’il offre, et je n’ai éprouvé aucun plaisir à créer cet écosystème.

La réussite des objectifs semble reposer largement sur la chance, étant donné le grand nombre de cartes à piocher et l’incertitude de ce que l’on va obtenir. Malgré un thème très en vogue, le jeu manque cruellement de fun pour moi ; je n’ai tout simplement pas envie d’y rejouer.

Je pense que le jeu a sacrifié le gameplay au profit d’un thème, mais cela ne fonctionne pas vraiment. De plus, le thème de la nature ne m’a pas vraiment enthousiasmé ; il me laisse aussi indifférent qu’une eau plate lors d’une soirée.

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earth boite

Un grand merci à Théo pour son aide précieuse 💚


Mélissa Royal


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