Un monde où l’on meurt à 33 ans, une DA à la Belle Époque, du tour par tour sous tension, un casting hollywoodien… Clair Obscur: Expedition 33 frappe fort dès son premier jeu.
Un monde où l’art tue (vraiment)
Chaque année, une divinité surnommée la Peintresse peint un âge sur un monolithe. Tous ceux qui ont cet âge meurent instantanément. En pétales. Littéralement. Cette année, c’est 33.
Alors un groupe d’aventuriers – Gustave, Maëlle et quelques autres – décide de remonter jusqu’à l’origine de cette malédiction. Et de la briser. Mais dans ce monde, rien n’est simple.
L’univers est unique : un mélange de Belle Époque, de surréalisme et de fantasy sombre. On y croise des mimes démoniaques, des chevaliers déglingués, des architectures flottantes et des créatures peintes vivantes. Chaque décor semble sorti d’un tableau impressionniste… cauchemardesque.
Un tour par tour qui te laisse pas respirer
Ici, pas question de poser la manette et de réfléchir tranquille. Le système de combat est au tour par tour, oui, mais il demande de l’attention constante. Pendant le tour adverse, tu peux esquiver, bloquer, contre-attaquer. Il faut lire les patterns, réagir au bon moment.
Chaque perso a son style : combos, sorts, postures, buffs… Et tout repose sur les synergies. Enchaîner les bons effets de statut, déclencher une attaque combinée au bon moment, retourner un combat tendu en jouant bien sa magie élémentaire.
C’est exigeant mais juste. Et surtout, ultra dynamique. On n’a jamais l’impression d’attendre. On joue tout le temps.
Des voix qu’on connaît… et une histoire qui frappe
Le casting est costaud : Charlie Cox (Daredevil), Jennifer English (Shadowheart), Andy Serkis, Ben Starr. Tous impeccables. Le doublage donne du relief aux dialogues, mais c’est surtout l’écriture qui marque.
Le jeu parle de mort, de liberté, de résignation, de choix. Pas avec des grands discours, mais avec des personnages qui doutent, qui cassent, qui se battent pour ce qu’ils comprennent à peine. C’est sensible, parfois brutal, souvent poétique. Et jamais creux.
Un RPG qui impressionne dès le départ
Pour un premier jeu, c’est un coup de maître. Clair Obscur: Expedition 33 a déjà des critiques excellentes, avec des notes autour de 90 %. Il y a déjà un projet de film live-action en route. Et clairement, Sandfall Interactive ne compte pas s’arrêter là. On vous en reparle bientôt sur Campustech !
Disponible dès maintenant sur PS5, Xbox Series et PC.